ANTOINE, GEORGES et MOI…
L’IMPROBABLE RENCONTRE OU L’HISTOIRE DES PASSANTES
Première dans le cadre du Festival BRASSENS a 100 ans
le 27 octobre 2021 à 20h30
Bateau – Théâtre Le Roquerols – Quai du Maroc – Port de Sète
>Lien billetterie
D’après une idée de
GÉRALD DUCHEMIN
Une pièce théâtrale de
GÉRALD DUCHEMIN ET RÉMY JOUSSE
En collaboration avec
HERVÉ MASQUELIER
Mise en scène
XAVIER-ADRIEN LAURENT
Composition musicale
HELENE ARNTZEN
Interprètes
HERVÉ MASQUELIER, comédien
HELENE ARNTZEN, musicienne
Une coproduction Gyro Productions / TAC – Territoire Art et Création
ANTOINE, GEORGES et MOI… est une fiction s’appuyant sur des faits réels.
Le spectacle traite de l’improbabilité qui entoure la vie de chacun.
Sommes-nous en mesure de la prévoir, de la saisir, de la valoriser… dans ce qu’elle nous propose ?
Une histoire qui dura 60 ans.
L’histoire d’une des plus belles chansons françaises.
Traduite en 18 langues et encore étudiée à ce jour au lycée, en 4ème et 3ème.
L’histoire authentique d’une chanson issue de la non rencontre entre deux hommes.
L’un s’appelait Antoine Pol.
L’autre était Georges Brassens.
La valeur du hasard est égale à son degré d’improbabilité.
Milan Kundera
Antoine Pol, né en 1888, est un brillant étudiant de l’école centrale
qui se prépare au métier d’ingénieur.
Il a 23 ans et une passion : la poésie…
Incorporé en 1914 comme sous-lieutenant au sein du 9ème régiment d’artillerie, il participe à la bataille de la Meuse… et demande à sa famille de trouver un éditeur pour un recueil de poésies qu’il intitulera “EMOTIONS POETIQUES”.
Ce recueil de 130 pages, ne sera édité qu’à 110 exemplaires et à compte d’auteur.
En 1944, un jeune homme enrôlé de force, décide de ne plus revenir en Allemagne au STO (service de travail obligatoire)… Il
trouve refuge impasse Florimond où il sera recueilli par Jeanne et
l’Auvergnat. Ce jeune homme de 23 ans, se baladant aux puces de la porte de Vanves, doit choisir entre sandwich ou bouquin par manque d’argent.
C’est en feuilletant le recueil d’Antoine Pol, qu’il tombe sur le poème de la page 17. Ce jeune homme s’appelle Georges Brassens…